}. Partout où pleure et crie un captif, Dieu regarde. Sous les plumes Ce vieux cheval qui se rappelle sa jeunesse et ses courses folles dans les landes, est touchant. Le désir de sa vie La bise à tous les deux. Chardonneret, pinson, moineau franc, hochequeue, Le Cheval s'étant voulu venger du Cerf, est un poème de Jean de La Fontaine. Liberté Du treillage aux fils d’or naissent les noires grilles ; – entrailles dévorées –, Encore, tête dressée C’est beau. Comme tant d’autres, je suis séduit par cette calligraphie, à la fois expressive et idéale: Quand vous cadenassez sous un réseau de fer Lorsque Pam s’en va une rébellion magistrale La raison de ce chagrin retrouvé ,me voila préte a recevoir les petits enfants. Car on conduit en terre au soir de la bataille Un être. De quel droit mettezvous des oiseaux dans des cages ? pour vivre l’harmonie, et si gît l’existence bonjours il faut que je fasse une indroduction et une conclusion pouvez vous m’aidez. En mille baisers si doux Je cours sans être libre, et je vis dans les fers, Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. avec ses reflets d’argent Chez toi le détenu, ce témoin effrayant ? « L’idéogramme est le fantasme du poète en son rêve d’une impossible plénitude. Servi par un boucher pansu et puis jovial Et vous verrez que tout ce conte est vrai. Dans les poils et, dans mes naseaux ouverts, C’est une superbe vision du cheval, Kaïkan. Ma grande amour pour la vie pour de vrai, Pour elle seule je veux être une orange Nous sommes content de vous voir ici. Le cheval, liberté et rébellion, est pensé. « Je saute de deux puis de une case et l’échec se fait jour ! Bon dimanche à toi. Notamment voir les notes Sauvage, chevaux d’écume, camargue. hennissent en nos coeurs. Oh! Car le noyer personne ne pourra Oiseaux, poissons, évêque et troupes d'anges Jusqu'au château porte haut le cadavre Dessus les flots qui chantent ses louanges. Je hennis, montre les dents C’est là que croît, dans la ravine Où fuit Plaute, où Racan se plaît, L’épigramme, cette aubépine, Et ce trèfle, le triolet. et voudrait lui parler (sans rancune, aucune ! Je ne connais pas le livre d’André Velter et retiens ta référence. Enfourchez les, Mon cheval bute contre des crânes joués à la marelle de la rouille. tu sais que ta force impressionne Tu es ma force >Claudie: > Bruno, merci de ce petit galop de concert. Pré – méditation ? Liberté Est ce un coin de paradis Taillant dans la bavette, dans les deux sens du terme ma pleine admiration pour ceux qui oeuvrent pour la liberté de l’Être. >bonbonze : Ce forçat qui sur toi jette une ombre d’esclave Je t’ai un jour qu’elle avait du s’absenter Prenez garde ! Tous ces nageurs charmants de la lumière bleue, Joli concert de billets entre vous deux Il va falloir que Pam finisse par donner l’accès à son pré tant il vous inspire;-). Qu’elle avait interdit à ses hôtes nombreux Qui remonte et lumière Merci Michel pour ces poèmes qui évoquent si bien l’univers de Pam. Qui galope mon âme étoile de vénus 1 Points Une fée qui vivait à la campagne Ils restaient tous ensemble, Juments, étalons, poulains, Pouliches, Avant et après que l’homme n’intervienne Dans leur existence De liberté, De jeux et de courses spontanés. Tout exploré tout comme tout goûté display: none !important; Ce petit cheval fou privé de liberté en vrai comme au figuré avec tous les symboles qu’il représente, cette prison de verre, le pré interdit…tu n’imagines pas a quel point tu es proche de tout ce que je veux exprimer. Je le tirais vers la prairie Où l’aube, qui vient s’y poser, Fait naître l’églogue attendrie Entre le rire et le baiser. qui dans un ciel vide Merci pour ce beau partage de sensations. Pour être au bagne avec leur nid et leur femelle ? Mais en fermant les yeux c’est rien, le soleil a tapé sur ma tête…….délicieusement mienne! Beaucoup d’humour dans ton dernier poème Tes chevaux sont en pleine forme. Merci à toi. De laisser nos pensées La robe reluit de tous feux, Le cuir est dur L'encolure est sauve, C'est la prise de mon père Son trésor c'est Mor Vak. Ou Puisque j’y suis et désolée de cet appel à la cantonnade, mais il y a quelque temps je t’ai envoyé un mot dans ta Bal, à propos d’ Interlignes, mais comme je n’ai eu aucun écho, j’en arrive à la conclusion que tu ne l’as sans doute pas reçu..Peux-tu m’en dire plus ? Carnivore, Bonbonze Bises. à la bête mythologique Des ânes des chevaux et bien d’autres choses encore Quelqu’un t’a mis en cage de verre Ne vous laissez pas emporter dans ces précipices. Que voulez-vous la rue était barrée. Merci beaucoup, bon week-end. Qui m’attend à la nuit fière escorte Ni canasson ! toi le gardien du nom Un cheval fou dans un grand magasin, J’aime bien Julie Lulu et le Grand Jacques Il entend ce grand rire Ces chevaux font rêver…………juste avant de se coucher. en cadavres de terre Trop de galops Touchée par vos deux poèmes qui expriment bien en mots ce que je voulais faire passer par l’image. La "Rose en Liberté" sans la Liberté, l'Egalité, la Fraternité, ne pouvait parler. Vis l’offrande de ta liberté. Je t’embrasse fort Neyde et t’envoie quelques rayons de soleil imaginaires, faute de mieux . », » … Un cheval est véritablement noble, Dans le signe « ma »? Parmi des pétales de roses Je suis si contente pour toi et prend plaisir à étirer le temps j'admire, en vérité, Qu'on puisse avoir de la haine. En cheval que je suis J’ai été fascinée par ces expressions presque fantasmagoriques. Mes mains l’ouvrent Ô vous les chevaux, libérés de vos rênes, Dévalant la colline coupant le sentier, Gagnez au plus vite le monde des plaines, Galopez dans le vent, oubliez, oubliez, Les hommes, là … Merci Johal, c’est beau. En croupe >Pascal : Ton poème, m’a beaucoup plut, on se laisse transporter, se bercer… en pleine liberté, par la sonorité de tes mots. Même si le texte évoque des événements, des personnes ou des lieux, il importe avant tout de reconnaître et de ressentir, à sa manière, les émotions que ces divers éléments ont provoquées chez l'auteur. Ne manquez pas d’aller découvrir son atelier de sculpture. >Pam : Votre cheval vous ressemble comme votre reflet dans un miroir. En ce flux et reflux, sur cette mer vivante, A son appel ardent l'épouvante s'abat. Ma liberté, bonjour Ossiane, oui, hier soir, j’ai eu fort tard à discuter loin et haut et beau, de la vie, C’est vraiment désolant, c’est une histoire tragique Le cheval. leur secret alors qu’elle chevauche l’alezan, le corps déplié sur les ondulations de l’animal, tandis que d’une main elle maîtrise le rythme, les pieds juste à la pointe des étriers, le buste et la tête légèrement Dans sa prison du faire Romps la corde des hésitations L’univers de la poésie et de la chanson est un univers d’émotions. >Bruno et Pierre (2) : j’ai écrit? Victor Hugo splendides avec un « s » c’est encore mieux , n’est-ce pas ? de nos actions qui sait les contrecoups, Tu es beau, si précieux, si tendre Que voulez-vous nous étions enfermés. en rictus effrayant Et, fidèle aux cailloux, Cheval seul attend la nuit Pour n’être pas obligé De voir clair et de se sauver. il réunit le courage et la fierté Ossiane Flatteries sur le poitrail Débourré : Superbe, bouldegom. >cokhun: peur sous les étoiles, un cri de colère Les Animaux et leurs hommes Cheval seul, cheval perdu, Malade de la pluie, vibrant d’insectes, Cheval seul, vieux cheval. >Bourrache: 7 citations Je ne connaissais pas la camargue avant ce mois de juin. Et recueille et se donne alors j’ai beaucoup lu, écrit aussi, lu et relu, apprécié cette liberté si grasse de foin bon et aussi délirant …si bon la liberté de grosses indigestions! > amichel, Vit, chante, et fait sortir de terre la prison. Belles figures figées dans le mouvement de l’instant de leur désobéissance. en ombres grimaçantes Jean Ferrat, Je suis un arbre un vélo une orange Merci Nath de faire faire la visite;-) La Camargue est un vrai paradis de liberté pour ces chevaux blancs. Le destin juste et dur la reprend à des hommes. Et au galop Respect aux doux passants des airs, des prés, des eaux ! mon cheval se cabre dans un orage de nuages qui sont des putréfactions de chairs à naufrage. C’est tout con Poète – ailé, >Maria-D : Et la crinière Je ne suis pas encore très bien réveillé mais je voulais absolument mettre un petit mot tes photos sont superbes. Argile fragile nos bêtes sont bondées d’un cri ! Lisez et tele chargez gratuitement toute la poésie française du 16ème siècle. La liberté =la possibilté de pouvoir dire= OUI ou NON. En cheval de mer M’a transpercé de sa flèche brutale – langue hénissante prête à mordre ». Si pur de vraie de vie Les giboulées sous un grand parapluie toi tu galopes en assommant les pierres Je veux être Centaure merci pour ton message sur mes poèmes et pour ta proposition; j’aimerais beaucoup en effet participer aux mises en lumière quand mes textes en valent la peine. Bonne soirée, je t’embrasse. tu pleures avec le chevaux d’Achille ◊ Beaucoup d’émotion, de fierté et d’expressivité chez les chevaux de Bourrache et de Bernard. On ne renonce jamais aux chevaux vous savez, ça fait dix mille ans que les humains tentent de dresser les chevaux. En cheval libre Et enlever une nymphe même lui murmurer, Une force l’entraîne Je veux traverser les mers Poésie française. Oh! cette violence faite à l’infini Holà Très beaux hommages que tu fais à Pam, elle le mérite bien. Entre aujourd’hui Une belle chevauchée à faire rêver et qu’on a envie de réaliser en peinture ou en photo. Vertige de ces étendues immenses Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Ma belle vagabonde si fort que j’en crie, .hide-if-no-js { Un cheval fou dans un grand magasin ». Pouliche en Paradis, Bruno, selle ton cheval C’est vrai que ces boucheries ont disparu mais il m’arrive de voir cette viande dans les rayons de supermarché. Pégase de la Nuit je suis Bellérophon Pur Sang inaccessible et Roi comme le Lion Cheval tu tiens dans ton coeur le … -j’ai crié, et le chant des guerriers recopie le poème de la belle matineuse de Vincent Voiture. Merci Ossiane, je suis très touchée que tes pensées me lient à cette superbe note ! Espace restreint ), M’en vais me blottir La goutte de liberté Là-bas Le pain trempé dans un aphrodisique Je souhaiterai avoir une pensée pour Ingrid Bétancourt et pour tous les prisonniers en Colombie. Je suis né pour te connaître Lire la suite . En cheval de mer Tu traverses le blog à la vitesse d’un cheval sauvage au galop avec tous ces beaux textes relatifs au cheval, Maria Ton cheval a brisé le miroir pour retrouver sa liberté en beauté. Que certains nomment Tu as gambadé en liberté et en poésie bien tard dans la nuit, Annick Merci , Je t’embrasse. J’ai le don de la course et l’allure toujours fière Ce matin c’ était le desespoir ,la tristesse avant les rosses déprime. Quelle chance tu as ! Qui sait comment leur sort à notre sort se mêle ? 24 Octobre 2020 … Ou ceux du chat, Quant à mon chien Mon cheval doux d’amour Et les chevaux d’argile de Guimet O Mon cheval fougueux Mes vers sont si rugueux Qu'ils s'accompagnent d'énigmes ! Croyezvous que le bec sanglant des passereaux Ne peuxtu vivre heureux et content sans cela ? Il a le choix : sauter de deux cases pour s’aventurer, Ainsi fait, le Roi vocifère aidé de ses deux tours : Dommage que je n’ai pas pu y séjourner très longtemps. Merci à toi, je t’embrasse. Passe un beau dimanche, ici, le soleil va, part, fait lourd, une bise, un orage ce matin, impossible de savoir ce qu’il offrira cet aujourd hui en pluies ou soleil…. Poèmes de Paul Eluard. 50 citations 8 poèmes 1 2 4 ... Qu'on n'eût pu du jardin sortir tout à cheval. le guide auprès de lui Je te remercie. Un article de la revue Liberté (Volume 30, numéro 6 (180), décembre 1988, p. 3-121) diffusée par la plateforme Érudit. ouvrant grand ses narines Alors je la prends et la pose Tu veux que je te dise ? Les giboulées sous un grand parapluie, J’ai visité les Indes la Belgique et à propos d’écriture idéographique et de liberté, comment ne pas penser à ce qu’en a dit et fait Henti Michaux: Liberté… Les sculptures du musée Guimet sont magnifiques, tes photos sont d’une très grande qualité, beaucoup de classe . Et je te garde J’ai peur! Et caresse si tendre Ils vivaient libres. » [Véronique Elfakir] Je veux être cheval en cavalcade nature Où les centaures Bonne journée à toi , Bourrache et Bernard. « Qui n’a voulu saisir plus, saisir mieux, saisir autrement, pas avec des mots, ni avec des phonèmes, ni des onomatopées, mais avec des signes graphiques ? Le poème s’adresse d’abord à la sensibilité du lecteur ou de la lectrice. Je voudrais être Pégase sitôt qu’il y a des enclos des frontières Couvre-feu. André Velter / Zingaro suite équestre / Gallimard 1999. et tu as dix-sept ans. Je t’aime mon petit cheval Et ta liberté me donne larme à l’oeil Je suis si contente pour toi Ne deviens pas fou mon petit cheval Vis l’offrande de ta liberté La volière sinistre est mère des bastilles. >bouldegom : « Gardez vous leur avait-elle dit de pénétrer un jour dans ce pré Ni bourrin Nuno Oliviera > jeandler, élan de survie. John Lyons Le respect du cheval, c’est la fondation de la liberté. Libre au vent tête tendue, un désir, À propos d’Ossiane Bon week-end. Chaque jour renouvelé. Lecture du Haïku Calligramme: droite, cadre, gauche. Amateur d’échecs, Chris Un poème amusant qui montre que tu joues Merci beaucoup ; je t’embrasse. Les gens d’ici les singes d’à côté >Johal : Les gens d’ici les singes d’à côté, Pourtant hélas je cherche encore la Femme On peut encore les voir ici et là dans le pré tels qu’en « eux-mêmes l’éternité les change » Qui s’épuise Engoncée dans les plumes au fond tu n’es pas sérieux if(top!= self && top.location.href.substring(7,26)!="blog.ossiane.photo/") top.location.href = self.location.href; Sabots au vent Beaucoup en vadrouille en ce moment, je passe peu de temps devant mon ordinateur. Chanfrein chagrin Et ils vous conduiront En cheval – homme l’univers en moi, Sur une case d’échiquier, le cheval est planté Ma page de poésie Victor Hugo : Liberté, égalité, ... Du poing aux crins des chevaux. En ce dimanche, la prison s’est ouverte ; vos poèmes respirent la liberté dans le vent. J’ai beaucoup aimé ! Il colle son oreille Ce n’est pas si facile, bien sûr. pas les oublier, à penser à eux et à admirer le courage, qui pour certains, les a entrainer dans cet enfer.